Castelreng du Cougain
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Castelreng du Cougain

Moments de vie d'un personnage médiéval fantaisiste

 
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 Chapitre IV : Dijon : Arrivée Toulousaine/Languedocienne

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MessageSujet: Chapitre IV : Dijon : Arrivée Toulousaine/Languedocienne   Chapitre IV  : Dijon : Arrivée Toulousaine/Languedocienne EmptySam 6 Avr - 10:24

Maxi_de_Montmorency a écrit:
Chapitre IV  : Dijon : Arrivée Toulousaine/Languedocienne 930-80


[Narbonne, quelques jours plus tôt]

La Blonde, en pleine finalisation de son déménagement, furetait dans les malles encore non déballées. Elle avait besoin d'une ou deux robes à emporter avec elle à Dijon, de ses bijoux, de chaussures...autant dire que lorsqu'on était invitée à si prestigieux mariage, rien ne devait être laissé au hasard. Aidée de sa suivante Clarysse, elle déballa toutes ses robes..toutes sans exception! Il lui fallait en trouver une qui soit à la hauteur. A la hauteur de l'évènement, du beau monde à rencontrer, de ses amis qu'elle était sure de revoir...et de celui au bras duquel elle serait.
Une fois le choix fait, elle recommanda à Clarysse de raffraichir le tout, repasser les froufrous, faire briller les chaussures...tout emballer le plus précieusement du monde.
Puis c'est à Nortimer qu'elle s'adressa. Le jeune intendant, au service de sa Maitresse depuis quelques années maintenant, ne cachait pas sa bonne humeur et son entrain. Depuis qu'ils avaient définitivement quitté Saint Gilles, ce dernier semblait respirer. Sans doute aussi avait il vu revenir le sourire sur le visage de sa Maîtresse...Il lui était redevable et faisait tout pour satisfaire sa Maitresse. Elle avait offert au cadet des fils d'un meunier, voué à ne rien avoir en héritage, sinon le chat à sa charge, de devenir son bras droit. Le père bien content de se décharger d'un fils, avait accepté. Le jeune homme avait reçut une éducation, il avait appris les lettres, les chiffres, la gestion de maisonnée, les cartes, le service, les rangs de Noblesse...il servait fidèlement et consciencieusement sa Maîtresse.
Comme il était présent lorsque celle-ci avait reçut son invitation, il savait d'avance ce qu'il avait à faire et s'était préparé une liste. Avant même qu'elle ne lui donne ses indications, il lui indiqua qu'il avait demandé à ce qu'on vérifie l'état du carrosse pour le voyage assez long à faire, qu'il avait prévenu le cuisinier des provisions à prévoir, qu'il avait fait aérer les fourrures qui la garderait au chaud pendant le trajet, qu'il avait bien pensé à lui préparer quelques lectures pour l'occuper...Elle le stoppa en souriant.

"Mon cher Nort...Prévoyez pour 2 je vous prie...j'ai un invité avec moi. Le Seigneur de Cordes et de Massilhan m'accompagne. Nous sommes tous deux invités et nous allons partager mon carrosse tandis que Sa garde personnelle nous escortera."

Pauvre Nort', il n'avait plus qu'à recommencer...un sourire sur le visage, il prit congé de sa Maîtresse. Il aimait l'effervescence et avoir un tas de choses à gérer, à préparer, à fignoler...

[Sur la route entre Narbonne et Dijon]

Fort heureusement, le Capitaine de la Garde de Castelreng avait pris renseignements et avait définit un itinéraire plus sécuritaire pour ses protégés. Certes ils avaient eu une journée de voyage en plus, mais au moins étaient ils presque arrivés maintenant et sans encombre. Le Cougain avait profité de la promiscuité avec la Blonde pour lui faire une cours plus insistante...insistante mais agréable et respectueuse. Il plaçait la vertu de la Blonde au dessus de tous les joyaux du Royaume.
Elle l'appréciait vraiment...C'était un homme bon, doux, mesuré et passionné à la fois...


"Dites moi Mon cher Cast, ne nourrissez vous quelques appréhensions face à tant de beau monde à rencontrer? Le Dauphin...ce n'est pas tous les jours qu'on est invité à un tel mariage, surtout nous qui ne sommes ni Ducs, ni Comtes..."

Elle même était un peu inquiète...serait elle à la hauteur?
Elle s'était fait une joie en recevant l'invitation de la fille de Feue son Amie Lilly-Jane...une si Grande Dame...


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--Castelreng. a écrit:
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    Narbonne quelques heures avant le départ pour Dijon.


Son intendant aurait pu le nommer « courant d’air ». A peine arrivé qu’il était déjà à faire préparer une malle pour repartir. Différence était cette fois les vêtements à y mettre. De coté ses braies de peau souple et ses chemises amples, ses bottes usées dans lesquels il était le mieux. Là, c’était prise de tête pour sélectionner des habits adéquats chose des plus compliquées compte tenue du peu d’intérêt que son maître portait à sa garde de robe.

Malle bouclée, elle avait été descendue et aussitôt arrimée à l’arrière de son carrosse. Panier repas avait été posé à l’intérieur afin qu’il puisse assouvir une éventuelle faim en attendant l’arrêt dans la première auberge de l’étape. Ne manquait plus que le Cougain et départ pouvait être donné.

Comme à son habitude, ce dernier n’avait bien entendu pas trouvé utile d’avertir dans les temps ses gens qu’il ferait route avec la Baronne de Pennes qui passerait le chercher. Aussi, peu avant que le carrosse de la belle et blonde baronne entre dans la cour y avait-il grande activité, têtes renfrognées de l’intendant, des palefreniers, sourire amusé du capitaine Merer, et exaspération de Cordàs parce que ces gens n’avaient pu deviner ce qu’il n’avait dit.

Vie normale cela dit dans la demeure des Cougain…


    Sur la route de Dijon…



Faire chemin en habitacle fermé avec la blonde Maxi était pour le Ténébreux la plus belle des occasions pour profiter de si agréable compagnie et de poursuivre tranquillement mais surement la cour qu’il était à lui faire. Tout prétexte était bon pour faire plaisir à la jeune femme, ce qui le ravissait car voir ses joue se teinter d’un joli rose, voir ses azurs pétiller de bonheur et de joie était devenu pour lui d’une importance capitale.

Amis depuis de nombreuses années, ne se voyant que dans de rares occasions, ils s’étaient retrouvés à travailler ensemble et doucement rapprochés. Le Cougain s’était petit à petit aperçut qu’il attendait de plus en plus les visites que lui faisait la jeune femme pour ses besoins à la capitainerie du Comté. Petit à petit ils avaient parlé de choses plus personnelles et s’étaient aperçus qu’ils avaient nombres de points communs et plus encore qu’ils se plaisaient à être ensemble.

Alors qu’il ne leur restait plus que quelques heures avant de rejoindre l’auberge où ils avaient réservé chacun une chambre, la conversation qui jusque là était sur le ton du badinage, se fit plus sérieuse. Et quand elle lui demanda ce qu’il ressentait de devoir rencontrer les grands du Royaume, il ne put cacher la légère grimace qui se dessina sur ses traits. Non qu’il ne voulait se rendre à ce mariage. Il n’y serait pas venu si tel avait été le cas, mais il était à présent conscient qu’il n’avait pas la garde de robe adéquat et craignait surtout de faire tâche au coté de la belle Maxi qu’il ne comptait pas quitter d’une semelle – cour empressée oblige. Étant ex Garde Royal il avait eu à plusieurs occasions de croiser le beau monde et sans doute rencontrerait-il certaines personnes qu’il avait côtoyées à une époque. Aussi répondit-il avec franchise à ce qu’il appréhendait le plus.


Revoir la fille de Lily-Jane que j’ai rencontré lors de la campagne contre le ponant en 59 me fera plaisir, ça va s’en dire. Elle est aussi charmante que sa mère et j’ai souvenance qu’elle aimait que je lui conte quelques faits épiques que nous avons vécu Lily et moi…

Mais ce que je crains surtout Ma Mie c’est de vous faire ombrage avec mes simples vêtures, même si la joie que j’ai d’être votre chevalier servant durant tout ce temps est immense. La pensée de pouvoir vous faire danser lors de ces noces est un bonheur à l’état brut.


Et pour lui-même ajouta : Ainsi que de voir vos joues se colorer de si belle façon. Constatant une fois de plus qu’il en était bel et bien tombé amoureux de cette adorable Baronne, ce qui illumina son visage par un sourire plein de charme.


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Maxi_de_Montmorency a écrit:
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Le voyage en sa compagnie avait été des plus agréables. Ils avaient parlé travail, littérature, poésie, puis doucement la conversation avait glissé, chacun contant à l'autre une partie de ses aspirations futures...il était amusant de voir tout ce qu'ils avaient en commun.

Quand il évoqua les aventures de Feue Lilly, la Blonde eut un sourire. Un sacré numéro cette Femme là!

Quand il en vint à lui avouer qu'il avait peur de desservir son image, elle fut touchée par sa modestie. Puis il recommença à lui faire moult compliments qui la faisaient immanquablement rougir. Mais elle le savait sincère et aimait à rosir pour lui. Et lui il adorait lui faire ce petit effet...Ils allaient en passer des heures ainsi!


"Si j'ai proposé de vous emmener avec moi Mon Ami, c'est que je le souhaitais sincèrement. Votre vesture m'importe peu et le qu'en dira t'on ne conduit pas ma vie. Je fais mes choix, j'en ai fait deux récemment qui nous on conduit ici, et je ne les regrette pas! J'aime que vous me fassiez la Cour, et c'est à votre bras que je veux être vue à ce Mariage devant tout ce beau Monde. Terminée la Cage dorée, j'aime qui je veux et fais ce que je veux..."

Elle se rendit compte qu'elle avait parlé vite et s'était fendue d'une confidence à son égard. Elle devint Rose Pivoine, presqu'écarlatte.

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--Castelreng. a écrit:
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Il ne pouvait espérer plus belles paroles que celles-ci, et alors qu’elle avait voulu en dire peu, elle lui en avait en fait dit beaucoup. S’il en avait douté, la couleur de ses joues le lui confirma. Alors il lui prit la main pour en baiser tendrement la paume et que de la lui rendre ensuite la garda, ses doigts allant jouer doucement avec les siens.

Ayant cru à jamais ces sentiments morts, il se retrouvait le cœur battant tel un jouvenceau connaissant ses premiers émois amoureux. Heureux et plus encore de savoir qu’elle partageait les sentiments qu’il éprouvait. Ses yeux pétillants d’un bonheur sans nom la dévisagea alors, se noyant pas instant dans le bleu de ses prunelles pour s’attarder ensuite sur ses lèvres.
Que n’avait-il remarqué la finesse de son visage, ses lèvres pleines faites pour les baisers ? Ses lèvres…. Il ne parvenait plus à les quitter des yeux se demandant sil elles étaient plus douces encore que ce qu’il pouvait s’imaginer. S’imaginant mille et une façons de leur rendre hommage. Il s’en retrouva avec le sang bouillonnant, le corps durcit et à l’étroit dans ses braies.

Un silence s’était fait dans l’habitacle qu’il ne pouvait cependant pas faire durer plus. Gigotant quelque peu afin de trouver posture moins gênante, il toussota discrètement pour se remettre les idées en place. Avec un peu de chance sa belle compagne prendrait cela comme une réaction à ses paroles et non à sa beauté trop envoutante et c’est avec une voix plus rauque qu’il ne l’aurait voulu qu’il parvint à lui dire.

Vous faire la Cour m’est devenu aussi vitale que respirer, il n’est de mot pour vous dire l’importance que d’être en votre compagnie. Et quand le doute me prendra qu’en à la qualité de mes tenues, je me regarderai à travers vos beaux yeux pour me rassurer.

Il ne pouvait qu’accentuer la teneur de ses paroles par un baiser. Baiser dont il mourait depuis trop longtemps de lui donner. Aussi se pencha t-il lentement vers la ravissante afin d’enfin d’assouvir son désir. Ils n’étaient alors plus qu’à quelques centimètres l’un de l’autre, s’enivrant déjà de son doux parfum et de son souffle lorsque le carrosse s’arrêta.
Ils étaient arrivés !
Il voulait l’embrasser mais ne le pourrait encore.
Poisse !
La porte du véhicule s’ouvrit, marche pied fut déplié, valet déjà à attendre pour aider à la descente.
Le Ténébreux ravala un grognement de frustration, regarda sa trop belle compagne sans parvenir à cacher son dépit, ne parvenant qu’à dire


Nous voilà rendus….


Et de descendre pour lui offrir son bras afin de l’aider à sortir à son tour.

Pas un regard sur l’auberge et ses alentours, il avait plus beau spectacle à admirer. Pourtant il aurait pu constater que c’était là bel endroit, que l’aubergiste était déjà devant la porte pour les accueillir…



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--Maxi_de_Montmorency a écrit:
Elle avait chaud malgré la fraicheur encore tenace de la saison. L'émotion de s’être trop vite découverte du voile de mystère dont elle se parait, ne diminua pas quand il déposa un baiser dans sa main et emprisonna ses doigts les mêlant aux siens...
Elle put lire sur son visage l'émoi qu'elle venait de lui causer, avant même qu'il ne lui avoue. La déclaration qu'il lui servit fit tomber les dernières barrières de la Blonde. Elle le vit se pencher vers elle et compris qu'il allait lui donner leur premier baiser.
Elle rougit, son coeur battant la chamade dans sa généreuse poitrine à la peau laiteuse et douce comme la soie. Elle rougit et ferma les yeux, le laissant venir à elle, lui donnant silencieusement la "permission".
Elle sentait son souffle chaud quand le carrosse s'arrêta et que le personnel fit promptement son office.
Envolé le baiser, refroidie l'ardeur de l'instant à saisir...Il sembla aussi contrarié qu'elle de cet intermède mais le cacha assez adroitement.
Il descendit le premier afin de l'aider à descendre sans encombre à son tour. Le regardant dans les yeux, le plus doux des sourire aux lèvres, elle s'appuya sur son bras pour s'extraire de la voiture en oubliant de relever le bas de sa robe. Elle était tellement absorbée par les émeraudes envoutantes du Ténébreux qu'elle se prit les pieds dans son jupon et perdit l'équilibre, se retrouvant dans les bras de son Chevalier Servant, qui la sauva de l'humiliation d'une cascade improvisée. Passant les bras autour de son cou, elle plongea ses prunelles dans les siennes.


"Vous êtes mon Sauveur Senher!"

[A l'auberge le matin des noces du Dauphin et de Catherine-Elisabeth]
La suivante de la Blonde, Clarysse, avait préparé le bain de sa maîtresse, avait lissé sa robe et l'avait aidée à s'apprêter. La Blonde fit des efforts particuliers pour se rendre rayonnante pour faire honneur à son Cavalier. La robe choisie était magnifique, et assortie à la tenue du Sehner de Cordas. De plus, il y aurait du grand Monde à cette cérémonie, elle ne voulait pas paraitre comme une paysanne...
Elle descendit enfin pour rejoindre Cast qui, l'avait-on prévenue quelques instants plus tôt, l'attendait dans la salle commune de l'auberge et avait fait apprêter le carrosse.
Elle ressentit joie et fierté quand elle vit le visage du Senher qui découvrait la Belle dans ses atours.
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Son coeur menaçait d'exploser en son sein tant il battait fort de le voir aussi apprêté. Sans que l'un ou l'autre ne se décide à regarder autre chose que son élu, il lui tendit son bras pour la conduire. Déjà l'on pouvait entendre les cloches de la cathédrale qui annonçaient l'imminent début de la cérémonie.

--Castelreng. a écrit:
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    A l’auberge, avant le départ pour la Cathédrale




Devoir passer plus de temps qu’à l’ordinaire pour s’apprêter n’était pas vraiment dans ses habitudes. Aussi n’avait-il cessé de harceler son valet pour qu’il s’active, lui disant qu’il était empoté, qu’il n’avait besoin qu’on l’habille comme un enfant. Et ce dernier de lui répondre calmement qu’il se rendait là à un mariage princier et non faire le tour de ses terres. Le valet n’avait cessé de lui tourner autour, lui taillant le bouc proprement, lui nouant les cheveux par un lien de cuir, époussetant sa manche d’une poussière imaginaire, tirant sur son gilet etc etc…

Aussi quand enfin il se retrouva dans la salle commune de l’auberge, put-il respirer enfin. Il avait demandé à ce que l’attelage de la Baronne soit préparé et prêt à partir. Ne restait qu’à attendre la belle blonde. Faisant les cent pas entre l’âtre et l’escalier menant aux chambres, il prenait patience, chose remarquablement étonnante de sa part. La Blonde Baronne avait le don de faire ressortir en lui le meilleur !

Quand enfin elle se montra, il se trouvait devant les escaliers. Le spectacle fut pour lui grandiose. Elle était d’une beauté à couper le souffle. Il en oublia d’ailleurs de respirer, la regardant telle la plus belle des apparitions, ses yeux ne cessant de la détailler comme voulant trouver un défaut qui n’existait bien entendu pas. La perfection faite femme !

Lorsqu’elle se retrouva sur la dernière marche, il lui tendit le bras afin de l’escorter jusqu’à la calèche les attendant et dans un souffle parvint à lui dire :


Il n’est de mot pour dire combien vous êtes en beauté Ma Mie…

Sous le regard des voyageurs, ils sortirent et galamment il l’aida à prendre place dans le véhicule, s’installant face à elle. La calèche se mit en route alors que les cloches de la Cathédrale étaient à chanter à tue tête la grandeur de l’évènement arrivant…


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MessageSujet: Re: Chapitre IV : Dijon : Arrivée Toulousaine/Languedocienne   Chapitre IV  : Dijon : Arrivée Toulousaine/Languedocienne EmptySam 6 Avr - 10:27

--Maxi_de_Montmorency a écrit:
La Blonde Baronne de Pennes d'Albigeois, au bras de son Chevalier Servant, alias le Senher de Cordas et de Massilhan, descendit de calèche, sans encombre cette fois. Non qu'elle n'aima point se retrouver dans les bras du beau Castelreng, mais qu'ici le public aurait certainement moins bien apprécié la chose. Elle prit donc la précaution de relever le bas de sa robe pour ne point s'y emmêler les pieds. Leurs regards se croisèrent, complices, doucereux...tendres. Elle sent le vent léger qui fait bruisser la soie de sa robe.

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Puis se tournant vers la cathédrale, ils reconnurent tous deux le Dauphin qu'ils avaient déjà vu sur quelques gravures ou portraits. Ils ne s'attendaient pas à ce que le futur marié soit à la porte de la Cathédrale. Ils avancèrent jusqu'à lui, sourire polit mais point trop franc.
La main tenue par son Cavalier, la Blonde fait une profonde révérence.


"Bonjorn Votre Altesse, Nous vous prions de recevoir les félicitations et les voeux de Bonheur pour votre union de la part de la Baronne de Pennes d'Albigeois et Dona de Cunault, ainsi que du Senher de Cordas et de Massilhan. Nous sommes tous deux des amis de la défunte mère de votre promise et sommes honorés d'avoir été invités."

Révérence plus sobre cette fois, elle laisse Castelreng s'exprimer puis la mener en la nef.

Castelreng. a écrit:
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Il n'aurait rien eut contre le fait qu'elle lui retombe dans les bras en descendant de la calèche si ce n'est la gène qu'elle en aurait ressenti. Ne la quittant des yeux il lui avait donc tendu le bras et ne put qu'admirer le peu de chevilles qu'elle lui montra en relevant très légèrement sa robe. Un sourire aux lèvres quand il reporta les yeux sur son fin minois, regards qui en disaient long pour ce qu'ils ressentaient l'un pour l'autre.
Elle était divine sa Divine dans cette robe et ne voulait penser trop à sa propre tenue

Se tournant enfin vers la Cathédrale, ils firent les quelques pas pour rejoindre la Sainte bâtisse où devant la porte se tenait le Dauphin. Il laissa sa compagne faire révérence et présentation puis à son tour fit salut protocolaire avant de confirmer son identité et ajouter ses félicitations.


Le Bonjorn Votre Altesse, Acceptez nos félicitations et nos vœux de bonheur pour votre union


Un autre salut et révérence pour la dame avant de céder la place aux personnes derrières eux et ils s'avançaient vers l'intérieur de la Cathédrale.

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