Castelreng du Cougain
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Castelreng du Cougain

Moments de vie d'un personnage médiéval fantaisiste

 
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 Chapitre II : De l'avantage des époux arrangeants

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MessageSujet: Chapitre II : De l'avantage des époux arrangeants   Chapitre II : De l'avantage des époux arrangeants EmptyLun 19 Mar - 11:34

Castelreng a écrit:
[hrp]Ce rp se déroule dans cette journée du 16 mars 1460. Donc bien avant le duel Castel/Skip et le tête à tête Ariana/ Jehan. Peuvent naturellement intervenir les persos qui auront croisé les deux principaux de cette petite histoire.[/hrp]



    Narbonne ce 16 mars 1460


Le rendez vous avait été pris. Après le repas de midi, lorsque l’époux serait en pleine digestion et de ce fait assoupi – normal à son âge -
Il aurait droit à une balade au bord du lac, rien de moins !

Si la dame était grosse de quelques mois déjà, cela ne le dérangeait pas. Elle était de compagnie très agréable et seul cela comptait. Et puis ce n’était pas n’importe quelle dame ! Mais belle est bien la plus vertueuse de la ville si ce n’était du Comté. Aussi savoir qu’elle était enchanté de ce petit intermède et en sa compagnie, à lui, ne pouvait le laisser totalement indifférent. Car oui, il est connu des rumeurs locales qu’il a une réputation telle que l’on met en garde jeunes pucelles en âge de prendre époux de ne surtout l’approcher au risque de voir leur vertu et leur réputation à jamais ternies !

Pauvre homme ! Bah oui quoi ? On ne va quand même pas prendre partie pour ces filles qui ne savent à coté de quoi elles passent !! Mais je m’égare... Revenons donc à ce qui nous intéresse !

Le sourire d’une Dame peut faire chavirer le cœur d’un homme.

C’est bien ce qu’il se produisit lorsque ses lèvres s’étirèrent divinement en lui avouant avoir aimé les lys qu’il lui avait fait parvenir et ce, en très grande quantité.

Les paroles d’une Dame peuvent laisser un homme rêveur.

Et comment ! Lorsqu’on entend dire que l’époux est arrangeant ! Mais jusqu'à quel point pouvait-il l'être ?

Mais les larmes d’une Dame ça le laisse toujours couillon !

C’est bien ainsi qu’il se retrouva quand, entrant en taverne, il vit ses joues humides et ses yeux rougis. Intimidé par la peine d’une dame et de celle-ci particulièrement ? Gêné, certes de constater que cette femme qu’il voyait jusque là forte, pouvait elle aussi se briser.

Et que ne ferait un homme pour voir une Dame rire ? !!

Seule façon qu’il trouva pour lui faire oublier ses larmes et ses peines fut de la taquiner. S’il ne la vit cependant pas rire, il put apprécier le fin sourire qu’elle parvint à faire et fut ravi, étonné aussi et quelque peu tourneboulé qu’elle accepte avec… mais oui mais oui ! Avec enthousiasme ! Il ne se trompait pas là ? Si ? Non décida t-il.


Parce que rien ne vaut le plaisir d’une Dame

C’est avec une litière qu’il avait au préalable fait demander qu’elle soit le plus confortable possible, exigeant moult coussins et fourrures, qu’il se présenta à l’heure dite devant la demeure des Casalièr.
C’est qu’il fallait prendre grands soins de la Dame et de l’état avancé de grossesse où elle était à présent. La mener en balade à pied était donc pour Cordas hors de question ! Lui faire faire quelques pas une fois parvenus au lac, là d’accord !

Il descendit donc de ce cocon pour aller frapper lui-même au heurtoir de la demeure.
Pour le cas où l’époux ne serait plus ou pas encore à digérer les yeux fermés en ronflant doucement, il transformerait ce moment en visite de courtoisie. Il faut tout de même préciser là que s’il appréciait énormément l’épouse il n’en appréciait pas moins l’époux !


Mais voyons voir un peu ce qu’il va se passer lorsque la porte des Casalièr s’ouvrira…..

Ariana_anthea a écrit:
[rp]Dans la pièce de la demeure dévolue aux ablutions, elle s’apprêtait ! Oui, s’apprêtait…On l’avait conviée à une promenade au bord du lac, enfin « on »…rien qu’à penser à ce « on », elle en souriait. Ravie qu’elle était qu’il ait eu quelques instants, même si ceux-ci devaient être brefs, à lui accorder.

En effet, il l’avait trouvée bien chagrin ce matin là, en pleurs pour tout dire, lorsqu’ils s’étaient croisés en taverne, aussi lui avait-il assez prestement, il faut l’avouer, proposé cette distraction fort à propos.
Bien sûr, elle avait été gênée qu’il la voit ainsi, bien sûr elle aurait préféré qu’il ne la surprenne jamais aussi…vulnérable, mais il avait vu, alors soit ! Alea jacta est * comme on dit parfois. Elle avait accepté heureuse d’une si charmante voire charmeuse compagnie.

Son époux était occupé ailleurs, elle avait donc toute son après-midi si le Seigneur le souhaitait et elle espérait qu’il ne serait pas trop pressé…

Elle finissait d’ajuster le fermoir de sa cape, son mouvement lui faisant parvenir aux narines la senteur de l’eau fraiche préparée avec les lys qu’il avait envoyé quelques jours plus tôt, lorsque le heurtoir se fit entendre. Un sourire s’afficha sur son visage, et elle pressa le pas pour aller ouvrir elle-même. Faire vite que Tiberge ne saute pas à la gorge du visiteur !

Elle fut la première, et ouvrit !


Ah, mon cher Cordas, je vous attendais !

Et de fermer la porte derrière elle, tout en s’avançant main tendue vers son chevalier servant du jour.
[/rp]



(*: "Le sort en est jeté")

Castelreng a écrit:
La main tendue fut vite prise pour y déposer un doux baiser avant de glisser sous son bras.

J'espère, Donà, que je ne vous aie pas fait attendre trop longtemps.


Et sans attendre, réglant son pas au sien, il la guida vers la litière qui les attendait.

Cette journée de printemps s'annonçait douce et cette promenade au bord du lac des plus agréables. Cordas était ravi de pouvoir passer quelque heures en si charmante compagnie. Il aimait parler de tout et de rien avec elle et ces derniers temps l'occasion s'était faite trop rare. Quelques mots en taverne en vitesse mais rien de plus.

Parvenus devant la litière, il ouvrit la portière, un grand sourire aux lèvres et tendit sa main libre vers l'intérieur du véhicule.


J'ai pensé que pour votre bien-être mieux valait se rendre jusqu'au lac en litière. J'espère Donà que cela vous convient.
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