Castelreng du Cougain
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Castelreng du Cougain

Moments de vie d'un personnage médiéval fantaisiste

 
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 Chapitre III : Scène de ménage à Thiers

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Chapitre III : Scène de ménage à Thiers Empty
MessageSujet: Chapitre III : Scène de ménage à Thiers   Chapitre III : Scène de ménage à Thiers EmptyMar 20 Oct - 11:31

Sur le chuchotement de son épouse, il était sorti de la taverne tellement vite qu'il l'en avait oublié presque. La proposition qu'elle venait de lui faire, il ne parvenait pas à y croire tant il l'avait attendu. Remit de ses émotions, il l'avait attendu devant la porte de la taverne, lui avait prit la main et l'avait entrainé dans la première grange en vue. Là, il la prit dans ses bras , lui releva le menton et lui dit doucement
J'ai pas rêvé ?? tu as bien dit que tu voulais assouvir tous mes désirs ?

Elle avait pas eu le temps de dire ouff que le voilà partie, Elle s'était exclamé dans un rire franc aux vus des autres convives avant de s'excuser et de sortir. Chose aussitôt faite que Castel l'avait amener dans la grange la plus proche, sans savoir où ils étaient. Aussitôt dans ses bras, elle leva les yeux vers lui, les plongeant dans les siens avec un magnifique sourire aux lèvres
Hum... je crois que tu as rêver.... si si....
Elle se jouait de lui un peu, le taquinant doucement

Il eut un air déconfit a sa réponse alors que ses mains se promenaient déja sur son joli corps.
Non ce n'était pas un rêve mon coeur, je sens encore ton souffle dans le creux de mon oreille. Amour dis moi que tu as envie de moi autant que moi de toi...


Elle se mordilla la lèvre doucement à ses mains contre son corps et approcha ses lèvres des siennes, les effleurant doucement
Tu as envie de moi mon Ange ?

toujours  et j'en deviens fou de l'abstinence que tu m'imposes
il lui prit les lèvres avec fougue et l'embrassa avec force comme jamais encore

Elle se vit chavirer dans ses bras, ne sachant pas comment s'en sortir maintenant qu'il l'a tourmentait de ses lèvres avec force, troublée elle répondit à son baiser par la même ferveur en comprimant son corps au sien
Mmmm... tu crée l'envie toi-même là je crois.....
 
mmmm non je créé rien...... je.... Bel lèves ta sentence je t'en conjure.....

Elle  regarde les yeux presque suppliant de son mari, jouant exprès avec ses nerfs depuis quelques temps
Nan..... je peux pas mon Ange... un marché est un marché....
 
il la repoussa de lui un peu brusquement et hurla de rage  AAAAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRRRRRRRRRGGGGGGGGGGGGGGGG !!!!!!!!!!!
J'en peux plus de tout ça !


Elle   reste saisi par la fureur qu'elle voit émaner de lui, la repoussant un peu brusquement, assez pour qu'elle en perdre l'équilibre et tombe sur les fesses
Ola..... mais ça va pas ?
 
Je...je peux plus Bel............. je deviens fou..... * Il ne fit rien pour l'aider a se relever, il restait là planter comme un navet avec le diable au corps * Si je te touche encore alors que tu ne veux pas............ je crois que j'en arriverais à te prendre de force....... Bel............ dans quelle situation nous as tu  mis ?

Elle   le regarde abasourdie toujours les fesses dans la paille, interloquée par ses paroles
Bien dans ce cas, t'as qu'à pas me touché... ça réglera le problème et laisse tomber, je veux pas de ton aide pour me relever !
Elle ronchonne et prend appuis sur elle pour se lever de terre, un regard de fureur dans les yeux
 
Tu comprends pas que tout mon corps me brûle quand je te frôle, quand je t'embrasse je perd mes moyens. Bel pourquoi as tu fait ce marché stupide qui est à nous blesser en ce moment ? Pourquoi? qu'ai-je fait pour mérité un tel supplice. Tu comprends pas que je souffre le martyre avec ce marché de dupe ?[/font]

elle   se relève et lui fait face durement cette fois
Ah... non.... je t'ai offert un marché convenable également avec cette contrainte mais non... tu veux rien entendre alors rabat pas toute la faute sur moi !
 
Mais tout est TA faute !  c'est quand même pas moi qui est fait ce marche de fou que je sache ! tu voudrais que je me contente de quelques miettes ? et en plus tu te fâches de mon refus de l'échantillon que tu m'offres alors que j'ai droit à la totalité !
elle ne semblait pas comprendre dans quel état elle l'avait mis avec ce marché et il ne savait si il parviendrait a lui ouvrir les yeux

Elle   le regarde horrifiée cette fois
Tu as droit ?!!! Non mais j'ai l'air de ta chose aussi peut-être ? T'as du toupet toi.... tu sais quoi... t'auras même pas droit à un simple échantillon ... rien !
 
J'en reviens pas ! réveillez moi mon dieu je suis en plein cauchemar là ! Que puis-je déduire d'autre que le fait que notre vie intime ne semble pas te satisfaire pour que tu agisse de la sorte. Dois-je en déduire aussi que tu n'as jamais été satisfaite de nos nuits  pour parvenir à t'en abstenir comme tu fais?

C'est n'importe quoi Castelreng, je cherche simplement le mieux pour tous le monde mais apparemment toi tu ne pense qu'à ta petite personne encore et encore... Y'a pas que tes envies qui compte ! Ne crois-tu pas que cela me fais plaisir devoir faire ce genre de sacrifice ? Mais apparemment j'ai plus de volonté que toi .....

parce que maintenant c'est un sacrifice que tu fais? non mais rassures moi là ! tu te fiches de moi ! Personne ne t'as contrainte a faire un marché aussi fou, un marché qui met quand meme à mal ta vie privé. Non je ne pense qu'à ma petite personne comme tu dis, je pense à nous, à notre complicité que tu es entrain de mettre à mal pour rien ! Car mets toi bien en tête une chose mon coeur ! Ethan ne cèdera jamais ![/font]

Et si je pensais à moi aussi dans cette histoire, tu y a penser ? Ah mais non.... justement, il ne t'es pas venu à l'idée que je ne voulais peut-être pas d'un autre enfant ? Tu crois pas qu'on a déjà assez de problème avec les 4 que nous avons déjà ? Surement pas puisque tu penses qu'à satisfaire ta '' complicité '' comme tu dis !
complètement hors d'elle cette fois prend la direction de la porte de la grange pour le plante là

 il la vit passer comme une furie ert ne fit rien pour la retenir. Décidément sa femme avait le don de le faire sortir de ses gonds et c'était bien pour cela qu'il l'aimait tant, mais il n'était pas en état de se l'avouer. [/fi]
Bordel de bordel !  [i]Cria t-il
 cette femme va me rendre complètement fou !  Il lui avait pourtant donné la recette pour éviter les grossesses, mais non elle préférait l'abstinence

Elle sortie et claqua si bruyamment la porte que la poussière du plafond à descendit et elle hurla sa rage à son tour
Arggggggggggggggggggggggggggg......... je vais finir par le giflé ce con !

Oriabel   partie rejoindre le reste de la petite troupe en clairière, marchant d'un pas renfrognée et réellement mécontente

Il sorti de la grange dans une rage folle et se dirigea vers le camps en regardant où allait Bel. Il marmonnait comme un fou entre ses dents :[i] Elle veut des nuits chastes ! j'ai les lui offrir ses nuits de bonne sœur ! on verra qui cèdera le premier ! Tudieu !

Oriabel   se rendit au campement et alla voir un des gardes qu'elle aimait bien et lui demanda de monter une tente de plus. Cette fois, il avait été trop loin, il allait dormir seul.... Elle en avait marre de ses crises hystériques pour rien

Il alla rejoindre le gros de ses hommes qui étaient à parler et boire autour du feu, ignora totalement son épouse et s'installa avec ses hommes. Prit une bouteille de vin qu'on lui tendit et l'avala. Se saouler était le mieux pour oublier sa trop belle épouse transformée en bonne soeur. Il avait bien l'intention de passer là nuit entière là à boire pour oublier

Elle  jeta un regard sur Castel en train de s'enivrer et rattrapa le garde afin de lui demander de prévoir un seau, sachant pertinemment que son mari, à cette allure allait être malade. Elle ne l'avait pas fait pour lui mais pour éviter à une de ses domestiques de nettoyer tout le bourbier qu'il ferait en étant malade partout.... Elle tourna les talons ensuite, toujours aussi furieuse et s'engouffra dans sa tente. Elle espérait bien qu'il serait malade avec tout ce vin...  Elle marmonna un bien bon pour lui entre ses dents

Une bouteille puis une autre y passa Ce vin est une piquette  ! Simon met en perce un tonneau de Castelbourg ! Ce soir nous faisons honneur aux nonnes et boirons donc à leur santé ! Jules trouve moi Hélie qu'il vienne trinquer avec nous et amène donc ce jeune freluquet de Pierric qu'on voit un peu ce qu'il vaut une chope en main ! Il parlait haut et ne doutait nullement que son épouse l'entendait. Qu'elle fasse une nuit blanche à se les geler dans sa tente de fortune se dit-il en tournant les yeux vers la tente de plus.

Oriabel entendait parfaitement son ivrogne de mari s'étancher dans l'alcool et que bon lui fasse. S'il pouvait avoir une sale tête demain et avoir l'air fou en plus de la migraine, elle serait bien contente ! Il l'avait chercher. Elle se dévêtit et se mis tranquillement sous les peaux, se recouvrant de fourrure pour passé une excellente nuit.... toute seule ! Elle aurait ainsi personne pour ronfler dans ses oreilles pour une fois.....
 
Une fois le tonneau percé, Hélie et Pierric arrivés, ils burent tous jusqu'à plus soif. Des rires gras s'entendaient par moment. Castel était saoul comme un cochon. Il se releva avec l'aide de son fils qu'il n'était  pas au mieux lui non plus. Pierric ivre également s'était laissé sagement reconduire dans ses quartiers. Notre homme laissa son fils aller à ses occupations nocturnes et se dirigea vers la tente monacale. Planté devant et titubant, il se demanda un moment si il allait entrer et forcer son épouse.

Oriabel  avait ragé plus encore dans ses couverture, se disant que franchement, elle avait épouser le plus con des hommes quand il agissait ainsi. Elle s'était tournée, retourner, avait même à un moment penser sortir et se venger en invitant un des gardes dans sa tente mais elle n'avait pas voulu se rabaisser à ce genre de guerre. Elle avait fini par trouver un repos bien que bouleversée par tout ceci sans se douter qu'elle était pas au bout de ses peines avec son époux....

  Castelreng leva l'ouverture de la toile et entra finalement dans le lieu sacré. Le brasero qui chauffait l'endroit éclairait légèrement la tente. Il s'approcha doucement, titubant et la regarda un long moment. elle dormait paisiblement alors qu'il souffrait le martyre.... Elle était belle à damner un saint là endormie et sereine.... Une montée d'adrénaline monta en flèche, il se retourna vivement et sortit tel un voleur. Qu'elle aille au diable avec ses principes de pucelles !  [i]Cria t-il en rejoignant la tente voisine, celle qui avait été préparé pour eux deux

Oriabel  sursauta en entendant crier et vit son époux partir rabaissant la toile illico elle ne pu s'empêcher de crier à son tour voyant le besoin de ronchonner de s'être fait réveillée de la sorte
Hé l'ivrogne.... y'a des gens qui essaye de dormir j'te signale !
Elle  se recoucha, boudeuse à l'excès et irritée par ses agissements carrément enfantin

Castelreng se retourna en entendant son épouse refit quelques pas vers sa tente et sans y entrer dit d'un ton narquois
La nonne a du mal a trouver le sommeil ? c'est bien dommage......
il se dirigea aussitôt vers sa tente, y entra et se laissa tomber sur le lit qui avait été monté pour eux et a peine allongé s'endormit

Oriabel  en avait plus qu'assez, il voulait jouer à ça, parfait, elle allait lui en donner pour son grade... là c'était suffisant. Elle se leva, pris une simple nuisette qui cachait à peine à moitié son corps et héla de toute ses forces dans le campement
Simon.... vous pourriez venir je vous pris.... je crois que j'arrive pas à réchauffer mon lit... j'aurais besoin d'une autre bouillotte.....
Elle  rentra aussitôt dans sa tente, sachant pertinemment que là... elle avait frapper fort, venant de sortir de sa tente, il avait sans doute pas manquer de la savoir très peu habillé....

  Castelreng était tellement assommé par la dose d'alcool qu'il avait avalé qu'il ne l'entendit pas. Il ronflait bruyamment, affalé en travers du lit, tout habillé

Oriabel  vit Simon arriver aussitôt avec une bouillote bien chaude, il n'osa pas trop porter un œil sur sa Maitresse à peine habillée, ce qui la fit sourire,  elle avait encore la quotte malgré qu'elle avait vieillit. Elle lui donna sa bouillotte froide et lui dit : Je voudrais que vous alliez dans la tente de mon mari, vérifier qu'il n'est pas malade et s'il dort, je vous ordonne de le réveillé, toutes les 15 mins... hors de question qu'il cuve son vin. il a voulu boire comme un cochon... qu'il assume ! Le Maistre d'Hostel la regarda n'en revenant pas de la cruauté de sa Maitresse qui ne lui connaissait pas. Ce n'était effectivement pas dans ses habitudes mais, il voulait la guerre, il allait l'avoir !
Allez... vite... sortez !
Oriabel  le vit sortir rapidement et s'exécuter en allant réveillé son pauvre Maitre endormi et ronflant de trop de vin consommé

Castelreng, allongé sur le ventre les bras en croix , il rêvait : Une nonne ; de toute beauté, avec des yeux saphirs qui lui rappelaient ceux de son épouse était a lui dire Messire..... je suis prête a faire à tous vos désirs....
Il s'avançait donc vers cette tentatrice des plus étrange cela dit. Ces yeux l'hypnotisaient littéralement. Il avançait et tendait le bras pour l'attraper et au moment où il pensait la tenir c'est sa femme qu'il retenait pas le bras et lui criait Plus jamais tu ne mettras les mains sur moi... jamais.... tu entends !
Vous m'entendez Seigneur..Réveillez vous... Seigneur....
[i]Il bougonna en croyant entendre la voix de Simon, se mit sur le coté et ouvrit un œil pour constater que c'était bien son homme qui était là à le secouer comme un prunier
Tudieu Simon ! fiche moi le camps de là !
L'  homme ayant l'impression d'avoir faire ce que sa maitresse lui avait demandé ne demanda pas son reste et quitta la tente. Il ne comprenait pas ce qu'il se passait entre eux deux aussi retourna t-il vers la tente de la dame et dit C'est fait Dame il a ouvert les yeux !

Oriabel  sourit à entendre Simon et lui rappela bien d'y retourner dans les 15 prochaine mines, connaissant bien son mari quand il buvait, d'ici quelques minutes il dormirait de nouveau et à la prochaine attaque de son maitre, il perdrait les pédales... elle s'installa confortablement dans son lit, attendant d'entendre son mari hurler sous peu, le sourire aux lèvres déjà satisfaite de cette bataille gagnée pour elle

Castelreng s'était rendormi avant même que Simon de soit sorti de la tente. Le réveil qu'il venait d'avoir sans comprendre pourquoi d'ailleurs, trop bourré pour y penser, avait eut l'avantage de le sortir d'un rêve déplaisant. Les ronflements reprirent et 15 mns plus tard il entendit de nouveau
seigneur réveillez vous... seigneur il vous faut vous réveiller.
Le Simon eut cette fois bien plus de mal à le faire sortir du sommeil, il ouvra de nouveau les yeux et marmonna Dégage si tu veux pas en chier demain.  
La menace était trop grave, l'  homme fila en vitesse et retourna vers sa maitresse pour lui dire de nouveau Il a ouvert les yeux mais là ça a été plus dur, z'êtes sur qu'il faut le réveiller tous les 15 mn ?
Il n'était même pas venu à l'esprit du soldat que la dame elle voulait sans doute dormir, mais craignant le courroux de ses deux maitres, préférait donner son rapport a chaque fois

Oriabel vit que Castel était sensiblement trop bourré et elle eut pitié de son pauvre domestique. Allez Simon, je vais réglé cela moi-même finalement
Elle sortie du lit et s'assura qu'il n'avait pas trop de gens à l'extérieur et s'engouffra dans la tête de son mari qui sentait le vinaigre de vin, elle soupira et pris le seau d'eau pour faire sa baignade et l'envoya directement sur Castel sans aucune pudeur, attendant sa réaction cette fois ....

bordel ! c'est quoi ! cria t-il quand il se retrouva trempé. Il s'était redressé sur le lit en sursaut et vit face a lui son épouse un seau vide en mains. La fraicheur de l'eau avait eut tôt fait de le dégriser, il regarda sa dame, la détailla des pieds à la tête  et se levant pour prendre de quoi s'essuyer il lui dit
ma nonne d'épouse aurait-elle changé d'avis sur ce qu'est une vie conjugale ? la tête essuyé il ôta ses vêtements et lui fit fasse alors qu'il était nu comme un vers. il plongea ses yeux dans les siens et ajouta Besoin d'un homme pour chauffer sa couche mon épouse ? comme vous voyez la mienne est humide...

Oriabel  afficha un sourire plus que satisfait de voir Castel tout à fait réveillée cette fois, elle s'attarda sur son corps qui se dénudait, envie de saliver presque mais elle se retint et lui tourna le dos, se dirigeant vers la sortie de sa tente mais, juste avant de sortir, elle lui dit Non merci, j'ai fais apporter de nouvelle bouillotte par Simon, un homme très aimable je dois dire..... Je crois que vous allez beaucoup mieux dormir ainsi, je vous ai rendu service, bonne nuit...
 
Vas au diable ! lança t-il quand elle fut sorti. Il écumait de rage et tentait d'analyser ce qu'elle lui avait dit au sujet de Simon. Une bouillotte, il était donc entré dans la tente de sa femme ! il allait devoir s'expliquer et pas plus tard que toute suite !  SIMON ! hurla t-il Ramène tes fesses là !
- L'  homme arriva au plus vite alors que son maitre était à mettre des vêtements secs. Sans se retourner il dit au soldat
De quel droit es tu entré dans la tente de ma femme ? !!! Demain tu connaitras ce que je te réserve pour ça.. Dégage de ma vue  va rejoindre le jeune gueux et ne bouge pas de là si tu tiens a ta vie .
Une fois Simon barré il avait l'intention d'aller a grand pas chez sa femme et une fois dans sa tente lui dire sa façon de penser

Oriabel  était plutôt contente de la tournure des évènements et éclata de rire à son Va au diable. Elle l'avait piqué et joyeusement cette fois. Elle retourna dans sa tente rapidement, retrouvant la chaleur de ses couvertures. Elle s'installa confortablement, lorsqu'elle entendit le pauvre Simon se faire réprimander... Arf.... j'arrangerais ça demain, pas sa faute quand même. Chaque chose en son temps, elle pris place dans son lit et ferma enfin les yeux

Il entra en trombe chez sa femme et se dirigea droit vers le lit. Avant même qu'elle ne puisse dire ou faire quoi que ce soit, il l'avait attrapé par les épaules  et la secouait et criant Comment avez vous osé ! Comment avez vous pu vous montrer dans cette tenue devant l'un de mes hommes ! comment avez vous osé le faire entrer dans votre tente ! Vous rendez vous compte de ce que vous venez de faire ? non  même pas ! trop prise par votre petit manège vous n'avez pas pensé que cet homme je serais obligé de le punir sévèrement demain ! ça vous est pas monté à l'esprit ça !

Oriabel  n'eut pas le temps de comprendre ce qui se passait, ne sentant que sa tête qui se ballottait dans tout les sens et lorsqu'il s'arrêta, l'espace d'un seul instant, elle lui envoyant une de ses gifles jusqu'à en avoir mal à la main
Ohhhhhh là ça va pas le faire.... Trop c'est trop ! Non mais vous rendez vous compte mon cher que vous perdez la tête. Lorsque Simon est entrer ici, j'avais un peignoir que je ne portais plus lorsque je vous ai rendu visite. Sortez de cette tente immédiatement avec que cela ne prenne une tournure que vous n'aviez jamais osé imaginer....

Castelreng l'avait relâché et s'était reculé d'un pas après avoir reçu une gifle monumentale. Il la regarda froidement et se retourna pour sortir Peignoir ou pas cet homme sera puni demain et vous Ma  Dame vous serez aux premières loges et vous ne manquerez rien du spectacle croyez le bien ! Dormez bien ! ajouta t-il juste avant de sortir. Il rageait, par la faute  du maudit marché qu'avait fait son épouse il allait devoir faire fouetter l'un de ses hommes. Simon le savait et avait malgré tout exécuté les ordres de sa maitresse

Oriabel cria Castelreng du Cougain... revenez ici immédiatement !
Elle planta ses mains contre ses hanches, en aucun cas cet homme devrais recevoir une punition et elle ne laisserait pas cela se faire. C'était de la faute de son mari tout cela ainsi que la sienne et personne n'en pâtirait sauf eux, c'était clair qu'elle ne laisserait pas cela se faire
Si vous touchez à un seul des cheveux de Simon.... croyez moi que mes malles seront faites et que plus jamais, vous entendez... plus jamais vous ne me reverrais...

Castelreng s'arrêta  et lui dit par dessus son épaule Non Oriabel ! dormez il vous faudra des forces pour demain croyez moi .....  et le chantage ne marchera pas cette fois ! Il se remit en marche et se dirigea vers ses hommes. Il connaissait trop bien son épouse pour la savoir capable de mettre ses plans a exécution, aussi en réveilla t-il deux à qui il donna l'ordre de monter la garde devant la tente de son épouse et de ne la laisser sortir sous aucun prétexte, leur vie en dépendait. Il s'installa sur une souche face à l'entrée de la tente et ne la quitta pas des yeux

Oriabel le regarda franchir cette porte en criant furieusement Soit, tu l'auras voulu ! Elle se retourna et sortit ses malles, s'habillant rapidement, prenant des bas par dessus sa nuisette, un simple baluchon où elle y fourra quelques vêtements et sortie de la tente, 2 gardes lui bloquant le chemin. Elle leur dit rapidement de s'écarter de son chemin sinon elle les ferait pendre sans aucune pudeur. Les deux gardes ne sachant que faire, allant se faire punir d'un côté comme de l'autre attendirent de voir ce qu'allait faire leur Maitre non loin
Castel, rappelle tes clébards parce que je vais faire de ta vie un enfer crois-moi... cette fois tu vas trop loin !

 
[Mes gardes n'iront nul part Oriabel et toi non plus ! dois-je te rappeler qui est le maitre ici ? Tu es allée trop loin contrairement à moi et je vais te remettre en mémoire ce qu'une épouse doit être pour son mari. maintenant je te conseilles d'aller dormir car demain sera une longue journée Trésor ! cette femme avait le don de le mettre dans tout ces états et là devant la colère qu'elle affichait il n'avait qu'une envie, lui faire l'amour. Elle le mettait au comble de l'excitation

Hors de question Castel.... si tu touches à un seul de ses cheveux... crois-moi que tu me perdra.....

pas de chantage Trésor !

Oriabel se saisit de l'arme du garde à côté d'elle à sa ceinture et le menaca rapidement en la lui mettant sous la gorge, le pauvre homme n'ayant pas vu venir le coup
On en est plus au chantage... rappelle les immédiatement sinon je ne répond plus de moi !

Castelreng se leva d'un bond en la voyant menacer un garde et en deux pas il était sur elle. D'une poigne de fer il lui tordit le bras pour lui faire lâcher prise et continuant a avancer la fit reculer dans la tente. Elle avait été trop loin cette fois et il allait la calmer sur le champs !
Il la poussa sur le lit et se jeta sur elle avant qu'elle n'eut le temps de dire oufff. Là, lui tenant les deux poignets d'une main il lui releva les bras au dessus de la tête et s'empara de ses lèvres avec férocité. Elle n'y couperait pas, pas cette fois
!

Oriabel se vit rapidement maitriser et pousser par la fureur de Castel, se fit jeter sur le lit et tentant de se relever mais en vain, déjà il l'avait cloué de son corps au lit. Elle tenta de se débattre par la fureur qu'il avait fait naitre en elle. Elle tourna la tête pour éviter ses lèvres
Castel arrête... t'es fou ou quoi ?!!!
Elle  le repoussa, du moins tentait de ses jambes

D'une jambe il tenta de bloquer les siennes, elle était vive sa petite furie et il aurait presque pris plaisir a la voir se débattre de cette façon. De sa main libre il lui tourna la tête pour plonger  ses yeux dans les siens Tu l'as chercher mon cœur.. tu l'as trouvé..... Il reprit de nouveau sa bouche et  força le barrage de ses lèvres de sa langue. Un baiser volé, un baiser fougueux, un baiser punition

Oriabel se vit contrainte à l'embrasser , un frisson parcourra son corps, malgré tout cela, il arrivait à l'exciter comme jamais mais c'était hors de question qu'elle le laisse gagner ! Elle souleva son corps, voulant à tout prix trouver une solution pour se déprendre de cette éteinte
 
Elle ne lui échapperait pas cette fois et il espérait pour elle parvenir a réveiller ses sens. Il lui lâcha le menton et posa ses lèvres dans son cou la couvrit de baisers chauds et doux descendant doucement vers sa gorge offerte. Plus elle se débattait plus il avait envie d'elle, elle lui avait fait perdre la tête et ce n'était pas de ce jour ! Sa main commença à parcourir son corps arrachant la nuisette pour faire place nette et savourer la douceur de sa peau. Il brûlait en enfer pour elle. en avait-elle conscience ?

Oriabel hurlait à Castel de la lâcher mais en même temps, ses baisers dans son cou réveillait le volcan éteint, celui du désir charnel qui avait un peu trop longuement sommeillé. Elle voulait mais en même temps ne voulait pas céder. Il avait complètement perdu la tête et cela se renforça lorsqu'il vient lui arracher sa nuisette. Comme un belle diablesse elle se débattit encore plus furieusement, prête à tout... prête à lui.... tout se mélangeait en elle, confusion, amour, désir, hargne.... mais céder à cette pulsion était le laisser gagner et cela, elle ne voulait pas, elle donna un énorme coup de bassin contre le sien, espérant le déstabiliser ainsi....

Elle ne voulait pas céder alors  que dans cette bataille il ni aurait ni gagnant ni perdant mais seulement deux être fou l'un de l'autre ; il n'était pas parvenu a le lui expliqué plus tot dans la soirée en sortant de taverne. Elle se débattait avec adresse et il crut un moment qu'elle allait parvenir a lui échapper. il remonta ses baisers vers son oreilles et poursuivit ses caresses, il espérait plus que tout que ses attentions la calmerait, elle en avait plus que besoin ça devenait vital pour elle. Tout en titillant son lobe, il lui murmura des mots doux, des mots d'amour comme jamais il ne l'avait fait jusque là. Il était prêt à tout pour parvenir à l'apaiser, il ne voulait pas la forcer même si tout portait à croire que c'était le cas. Consentante mais pas soumise c'est de cette façon qu'il l'aimait.

Oriabel  avait beaucoup se débattre mais plus elle l'assaillait de coup, plus la volonté de se faire s'envolait, il avait toujours sur faire naitre en elle un désir fou, sa tête se plaqua contre la couche lorsqu'il se mit à la tourmenter de douces paroles, cherchant à l'apaiser. Cela fonctionnait très bien.... trop bien. Elle en aurait pleurer de rage sentant ses forces combatives s'abandonner. Elle détourna la tête vers lui, laissant ses lèvres renouer avec sa mâchoire, cherchant avidement les siennes, son bassin entamant une complainte sublime de désir en se frottant contre le sien cette fois, cherchant à le titiller

Il voyait bien qu'elle rageait car sous peu elle se laisserait aller. Il lui prit les lèvres et l'embrassa avec passion, déposant ensuite une pluie de baiser sur son joli minois. il lui murmura tendrement Y'a pas de perdant mon amour....pas de gagnant... juste nous deux emplis d'amour l'un pour l'autre..... Je t'aime passionnément, je t'aime de tout mon corps de toute mon âme... oublions ce qui n'est pas nous.....Il lâcha doucement ses poignets qu'il tenait encore et du bout du doigt dessina des arabesques sur la longueur de son bras glissant lentement le long de sa poitrine avant de s'en emparer en douceur. Son pouce venait titiller sa pointe, il la sentait se détendre et s'en sentait soulager. L'ouragan s'éloignait, ne restait qu'à faire avec le vent qui soufflait encore un peu

Oriabel  soupira de plaisir en sentant la main de son unique Amour venir prendre possession de son sein. ce qu'elle pouvait avoir envie de lui...... Elle opina doucement de la tête, cherchant toujours à gagner ses lèvres désireuse d'envie et lui murmura avant de les trouver Je t'aime..... j'en peux plus mon amour.... fait moi l'amour.... Ses lèvres se lovèrent au siennes cette fois, tourmentée par l'amour qu'elle éprouvait pour lui, par le désir qu'il avait fait naitre prêt à imploser dans son être bouillant. Ses mains partirent se saisir de sa tête qu'elle encercla l'empêchant de déroger à ce baiser qu'elle lui offrait, éperdue d'amour....
 
Jamais encore il ne fit aussi vite pour se dévêtir. Elle était tellement belle lorsqu'elle avait besoin d'amour et à la regarder il en avait le cœur bondissant. Lorsqu'il vint la rejoindre il éveilla chaque parcelle de son corps. il  voulait la voir éclater de plaisir. Elle était faite pour l'amour et une fois encore il allait lui prouver. Ses lèvres, ses mains n'arrêtaient pas, passant de ses seins au plus intime de sa personne. il lui murmurait Je t'aime.....

Oriabel  le vit retirer ses vêtement, en profitant pour retirer ses braies pendant se fait, l'attira à elle aussitôt revenu, laissant ses mains jouer la même symphonie, les murmures des gardes estomaqué par la scène qui c'était jouer ce soir ne retentissait plus à ses oreilles seules lui comptait mais, avant de s'offrir à lui, elle avait une dernière demande.... une unique.... Elle stoppa ses gestes, ses lèvres aux creux des siennes, ses yeux ancrés dans les siens
Je te donnerais tout ce que tu veux Castel, je laisserais tombé ce marché stupide mais à une seule condition cependant.....

Castelreng ne cessa pas ses caresses et la regarda passionnément dis moi mon ange.... tu sais bien que je ne peux pas te refuser quoi que ce soit Il ne pensait plus à rien d'autre qu'elle et avait déjà mis au loin tout ce qui s'était passé avant

Oriabel   sourit à l'entendre, ce n'était pas pour elle mais elle voulait à tout pris éviter les dommages collatéraux
Simon.... tu lèves sa punition.... c'est la seule condition... il a été embarquer dans cette histoire par le simple fait qu'il doit nous obéir.... tu lèves sa sentences et je serais à toi toute la nuit durant mon Amour......
 
Juste la nuit ? lui dit-il d'un air taquin. Il n'avait plus l'intention de fouetter le pauvre Simon mais juste de lui remonter un peu les bretelles car cette situation  ne devait plus jamais se reproduire. Il avait été piqué dans sa fierté et ne pouvait laisser passer sans ronchonner encore contre son soldat. C'est beaucoup demandé pour une seule nuit continua t-il en prenant un sein dans sa main.

Oriabel  cambra son dos sous l'influence de cette caresse contre son sein, entrouvrant ses jambes pour le laisse y prendre place aisément et soupira de bonheur de le sentir contre elle Hum.... je sais pas.... tu as certainement su me faire changer d'idée cette nuit... je suis pas inquiète que tu y arriveras de nouveau...... dans le pire des cas mais..... cette nuit... aime-moi comme jamais auparavant.... Elle passa ses mains contre ses reins, déviant contre ses fesses pour le guider plus en avant, de préférence en elle qui n'attendait plus que cela....

Castelreng s'empara de ses lèvres au moment où ils ne firent plus qu'un. elle n'avait pas eut de réponse a sa demande et il n'y pensait déjà plus. Enivré, ensorcelé par son amour, il l'emporta dans une danse langoureuse, venant et allant au rythme doux de ses soupirs de ses caresses. il lui donnait toute son âme dans ses coup de reins. Ses lèvres se glissaient sur son cou remontant vers son oreille pour lui murmurer les mots les plus fous. dieu qu'il pouvait l'aimer !

Oriabel fusionna avec cet homme pour lequel elle aurait donné sa vie entière sans rien en échange. L'amour qu'elle éprouvait pour lui était plus encore qu'il n'aurait pu l'imaginer, elle l'embrassa jusqu'à en avoir mal au lèvre, se laissant bercer ensuite par cette danse sensuel de leur deux corps réunis. Elle s'activa d'ondulation pour répondre à ses besoins autant qu'aux sien, s'époumonant d'amour pour lui.....

Jamais encore ils ne s'était aimé avec autant de passion, il lui donnait tout et en recevait d'elle tout autant, il faisait durer au plus loin le moment ultime où tout en eux exploserait .Ses mains ne cessaient de parcourir le corps tant aimé de sa douce, ses lèvres ne trouvaient pas de repos, passant d'un baiser long et fougueux à la tendre peau de son cou.
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Chapitre III : Scène de ménage à Thiers
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